C’est par cette phrase que commence ce brillant reportage. Le syndrome addictif des jeux vidéo en ligne est ensuite remarquablement mis en exergue jusqu’au moment fatidique où la « failitude » , pour reprendre une expression qu’aurait pu inventer une fameuse conseillère régionale du Poitou, arrive avec ardeur lorsque le mot « meuporg » est prononcé par le journaliste (à 0’34’’ pour les impatients), non sans difficulté mais avec tout le sérieux qui le caractérise. Un mot qui n’existe pas, mais qui a déjà généré du buzz, à un tel point qu’il ne sera pas étonnant de trouver sa définition dans le Larousse de 2012.
Le meuporg, ou la face cachée du journalisme d’investigation
23 mars 2010 Non classé Aucun commentaire