Cela commence à faire longtemps que mon chantier VDI est terminé, mais je m’étais juré que je prendrai quelques minutes pour poster les avancées au fur et à mesure de après l’aboutissement des travaux.
Après les grandes joies du tirage de câble dans les murs, incluant coinçages, carottages, tirages et prolongeages (le correcteur d’orthographe me souligne un seul mot sur ces 4, à vous de trouver lequel), la pose de prises murales est en comparaison une activité reposante. Légèrement chronophage, certes, mais reposante. Un peu inconfortable, car on se contorsionne au ras du sol pour connecter au dos de la prise à encastrer un câble qui s’avère généralement soit un tantinet trop court, obligeant à exploiter avec parcimonie les quelques précieux millimètres supplémentaires que le sort aura daigné vous accorder en tirant comme un forcené, soit un poil trop long, obligeant alors à trouver un moyen efficace pour lover le câble, rigide comme une baguette de pain qui aurait passé une semaine à l’air libre, à l’intérieur du boîtier, et à revisser la plaque sans que tout vous explose à la figure dès que vous avez enfin posé le tournevis. Bref, reposant.