Born to be wired

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 Mes données, ma bataille

Ce qu’il y a de bien avec les smartphones actuels, c’est que tant qu’on reste sur le même système d’exploitation, on peut sauvegarder ses données, les exporter, et les réimporter sur un autre téléphone. On peut donc aisément changer de mobile et avoir l’assurance qu’on retrouvera ses contacts, SMS, et autres informations utiles, sur le nouveau téléphone, de manière transparente ou presque. La vie est bien faite. Tant qu’on reste sur le même système d’exploitation. C’est à dire, pour certains fabricants de téléphones, tant qu’on continue à acheter les modèles de la même marque.

 Du matos qui traîne ? Recyclez-le en serveur de sauvegardes !

Je ne l’ai jamais caché à personne : je suis un grand parano rongé par une obsession inaltérable au sujet de la sauvegarde de données. Mon esprit ne connait le repos qu’après avoir obtenu la certitude que mes données informatiques les plus sensibles, résultat d’années de travail acharné, ne risquent pas d’être perdues.

Mon pire cauchemar ? Passer le reste de ma vie dans une prison turque. Mon pire cauchemar en seconde position ? Perdre mes données informatiques à cause d’un crash disque dur ou SSD.

 VDI – Pose des prises murales

Cela commence à faire longtemps que mon chantier VDI est terminé, mais je m’étais juré que je prendrai quelques minutes pour poster les avancées au fur et à mesure de après l’aboutissement des travaux.

Après les grandes joies du tirage de câble dans les murs, incluant coinçages, carottages, tirages et prolongeages (le correcteur d’orthographe me souligne un seul mot sur ces 4, à vous de trouver lequel), la pose de prises murales est en comparaison une activité reposante. Légèrement chronophage, certes, mais reposante. Un peu inconfortable, car on se contorsionne au ras du sol pour connecter au dos de la prise à encastrer un câble qui s’avère généralement soit un tantinet trop court, obligeant à exploiter avec parcimonie les quelques précieux millimètres supplémentaires que le sort aura daigné vous accorder en tirant comme un forcené, soit un poil trop long, obligeant alors à trouver un moyen efficace pour lover le câble, rigide comme une baguette de pain qui aurait passé une semaine à l’air libre, à l’intérieur du boîtier, et à revisser la plaque sans que tout vous explose à la figure dès que vous avez enfin posé le tournevis. Bref, reposant.